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Chanson jazz

Hommage à Boris Vian – Virginie Capizzi

Festival Paris Jazz Voice

Virginie Capizzi - voix
Thomas Cassis - piano
Olivier Michel - c.basse
Francesco Marzetti - batterie

jeu 05 juin

Sunside

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Ouverture des portes 45mn avant le début du concert.

20250427200842

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Ouverture des portes 45mn avant le début du concert.

Tombé amoureux du jazz adolescent en écoutant Duke Ellington, Boris Vian est resté fidèle à sa passion jusqu’à sa mort en 1959. Collectionneur, chroniqueur, fidèle du Hot Club de France, chanteur et trompettiste, il a contribué à promouvoir le jazz en France de mille façons. Au côté de Claude Abadie, Claude Luter ou à la tête de son propre orchestre, le “Prince de Saint-Germain-des-Prés” a arpenté les clubs célèbres de l’époque : le Tabou, Le Lorientais, etc. En 1948, il présente Duke Ellington à Raymond Queneau et Gaston Gallimard. L’année suivante, il sert d’intermédiaire entre Mile Davis, Sartre, Picasso et Juliette Gréco. Il entraîne même Charlie Parker au Club Saint-Germain… Auteur prolifique et protéiforme, Boris Vian a écrit des centaines de chansons dont les plus célèbres, de J’suis snob à La complainte du progrès en passant par On n’est pas là pour se faire engueuler ou Barcelone, ont insufflé dans la France des années 50s l’esprit du jazz Saint-Germain. C’est à une redécouverte joyeuse et pimentée du répertoire de ce pionnier de la chanson jazz française que vous convie l’impeccable 4tet de Virginie Capizzi ! Un opus à ne pas manquer.

Boris Vian fell in love with jazz as a teenager while listening to Duke Ellington, and remained faithful to his passion until his death in 1959. Collector, columnist, Hot Club de France regular, singer and trumpeter, he helped promote jazz in France in a thousand ways. Alongside Claude Abadie, Claude Luter or at the head of his own orchestra, the “Prince of Saint-Germain-des-Prés” toured the famous clubs of the era: Tabou, Le Lorientais, etc. In 1948, he introduced Duke Ellington to Raymond Queneau and Gaston Gallimard. The following year, he acted as intermediary between Mile Davis, Sartre, Picasso and Juliette Gréco. He even trained Charlie Parker at the Club Saint-Germain… A prolific and protean writer, Boris Vian penned hundreds of songs, the most famous of which, from J’suis snob to La complainte du progrès to On n’est pas là pour se faire engueuler and Barcelone, breathed the spirit of Saint-Germain jazz into 50s France. Virginie Capizzi’s impeccable 4tet invites you to a joyful, spicy rediscovery of the repertoire of this pioneer of French jazz chanson! An opus not to be missed.

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